Angelë Sepe

Pandôo Sepe

voyager \ˈvɔ.ɪə.dʒə\

  1. (Yöngö) watambûla

Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

voyager \vwa.ja.ʒe\

  1. gue, tambûla
    • En sortant de la kasba nous voyons nos chameaux poindre à l'horizon, et la prudence nous commande de les attendre pour voyager de conserve avec eux. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 45)
    • L’exploit dont on désespérait était accompli ! Un homme voyageait dans les airs, à son gré et en toute sécurité ! — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 30)
    • À voir ces étrangers courir vers la poste, égarer leurs valises, confondre bureau de tabac et épicerie, photographier un tombereau attelé d’une vache, les habitants de Beaume sentaient plus nettement combien l’on perd de sa dignité à voyager et combien le pays qu’on habite est supérieur à tous les autres. — (Jean GiraudouxProvinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 60)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï