âne
Pandôo
Sepeâne \an\ linô kôlï
- (Sêndâsa, Nyama) korôrö, lëlë
- De petits ânes aux naseaux fendus suivent [les chameaux], portant des peaux de bouc remplies d’huile. Ils trottent avec leur propriétaire à cheval sur l’arrière-train, à la naissance de la queue. — (Eugène Blairat, Tunis : Impressions de voyages , Paris : Librairie Ch. Delagrave, 1891)
- On le [Bacchus] représente ordinairement comme un vieillard à moitié ivre, monté sur un âne ou appuyé sur un thyrse. — (Marie Nicolas Bouillet, Dictionnaire universel d’histoire et de géographie , 1869, lêmbëtï 1768)
- De tous les pays circonvoisins, des campagnes et des villes, malades et infirmes, paralytiques, culs-de-jatte et pieds-bots accouraient dans des carrioles, dans des calèches, sur des ânes, sur leurs moignons calleux. — (« Rabalan » na Octave Mirbeau, La Pipe de cidre , 1919)
- Les cris des coqs, les sabots des ânes poussés par l’encouragement sonore et monotone des paysans, réveillèrent Elhamy le lendemain. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- Tiens, ça me rappelle la blague de Roland Dorgelès, tu sais, le Boronali, l’âne dont on magnifia le tableau. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930)
- Et ce n'est pas qu’il trottât mal, ou qu’il ruât, ou qu’il fût encore plus âne que les autres ânes. — (Vladimir Volkoff, Les Brumeurs de la mer : Olduvai͏̈ , Julliard/L’Âge d’homme, 1980, lêmbëtï 222)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï