épieu
Pandôo
Sepeépieu \e.pjø\ linô kôlï
- (Tôwâ) likongô
- […] ; un petit épieu à sanglier, avec une pointe large et en acier brillant, était appuyé au dos de sa chaise. Il s’en servait, lorsqu’il quittait la maison, tantôt comme d’un bâton, tantôt comme d’une arme, selon le hasard qui le forçait d’y avoir recours. — (Walter Scott, Ivanhoé , gbïänngö tî Alexandre Dumas, 1820)
- Alors, sire, dit Catherine, vos sujets les huguenots feront comme le sanglier à qui on ne met pas un épieu dans la gorge : ils découdront le trône. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre VI)
- Le cerf est reconnu, chacun prend un épieu ; Chacun donne un coup à la bête. — (Jean de la Fontaine, Fabl. IV, 21. )
- Race d’Abel, voici ta honte:
Le fer est vaincu par l’épieu !
Race de Caïn, au ciel monte,
Et sur la terre jette Dieu ! — (Charles Baudelaire; Abel et Caïn in « Les Fleurs du Mal »)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine