étaler
Palî
Sepeétaler \e.ta.le\
- gbara, hasa, zîa
- Étaler des chaussures, des draps, des toiles, des livres.
- Il est défendu d’étaler les jours de fêtes.
- (Zäzämä) tanda
- Chez les nations de langue anglaise Hitler et Goering ont été aisément reconnus comme des cas pathologiques étalant leur anormalité dans chacun de leurs actes, dans tous les gestes de leur vie. — (E. L. Woodward, Les origines de la guerre , Oxford University Press, éd. 1944, lêmbëtï 26)
- Car plus d'une fois, dans des dîners, des réunions, des bridges, quelque bélître patriotard avait étalé devant lui du mépris pour les « Français d’importation ». — (Vercors, La marche à l'étoile , éditions de Minuit, 1943, éd. 1946, lêmbëtï 60)
- Puisqu'il faut tout avouer, je descendrai en moi jusqu'au tréfonds, j'en remuerai la lie et j'en étalerai la pestilence. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes , L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, âlêmbëtï 48)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï