abîme
Pandôo
Sepeabîme \a.bim\ linô kôlï
- (Sêndâsêse) kötä dû, bûkulubû
- Oui ! tous les malheureux naufragés étaient là ! L’abîme n’en avait pas encore pris un seul. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
- Abîme vient du grec et veut dire « sans fond ». Il est à ce propos surprenant que Racine – qui avait fait du grec – ait laissé échapper dans Athalie cet alexandrin malencontreux :
Que du fond de l’abîme entr’ouvert sous ses pas. — (« Pour saluer Gédéon, le petit canard jaune de Benjamin Rabier » na Michel Tournier, Les vertes lectures , collection Folio, 2007, lêmbëtï 142) - (Zäzämä) Ils restèrent longtemps ainsi, silencieux, séparés déjà par tout un abîme, par toutes ces choses européennes qui dominaient tyranniquement sa vie à lui et qu’elle, Yasmina, ne comprendrait jamais… — (Isabelle Eberhardt, Yasmina , 1902)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine