Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe
 
Un chien en train d'aboyer. (1)

aboyer \a.bwa.je\ kürü palî

  1. gbo, dë köngö, dëköngö
    • Aussi la plupart des chiens se contentent de l'aboyer et ne se soucient pas de le saisir […]. — (Georges-Louis Leclerc de Buffon, « Le Hérisson » na Histoire naturelle des animaux , Œuvres, Bibliothèque de la Pléiade, 2007, lêmbëtï 809)
    • À l’instant un chien aboie dans le lointain ; il approche, il redouble ses cris, il arrive, il hurle de joie à nos pieds ; […] — (François-René de ChateaubriandAtala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
    • Il revint au chalet, où les chiens des Pyrénées aboyèrent tellement après lui qu’il ne put s’adonner au plaisir de contempler les fenêtres de Modeste. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • Quant à mon guide, […], il courait, pour se réchauffer, à quatre pattes avec le chien, et le faisait aboyer en lui tirant la queue. — (Alexandre Dumas, « Impressions de voyage » na Revue des Deux Mondes , 1833, Tome 1)
    • […] l’ouverture donnait sur la loge de Gaby Million où la vedette avait laissé ses chiens. Les bêtes se mirent à aboyer.
      — Naturellement c’est plein de cabots, crut devoir déclarer spirituellement Mr. Morgan.
      — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)

Âlïndïpa

Sepe