Bâa ngâ : Agonie

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Le Radeau de la Méduse par Géricault, représentant les naufragés agonisants.
 
Agonie dans le jardin (c 1610-1612), El Greco. Musée des beaux-arts de Budapest.

agonie \a.ɡɔ.ni\ linô gâlï

  1. (Könöngö) gïöngö-bê
    • Cependant, dans ce masque de douleur, presque d’agonie, déjà, l’existence qu’elle menait depuis trois années n’avait laissé qu’une ombre de tristesse plus profonde… — (Isabelle EberhardtYasmina , 1902)
    • Ici un vieillard tuberculeux tisonnant un poêle et prolongeant son agonie tout en criblant innocemment de ses bacilles les tout petits confiés à sa garde. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • L’église ce dimanche, regorge de gens qui ne fréquentent qu’aux enterrements, aux bouts de l’an, à la fête patronale, des têtes de bois qui ne l’appellent que pour les derniers sacrements, et qu’il oindra, à l’agonie, dans l’inconscience quasi totale, absous néanmoins de toutes leurs fautes. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • On causait de mouches ! Vous savez pas ce que c’est que de mourir de soif, mon général. Mais j’ai étudié ça, c’est assez bichant. Votre langue va d’abord gonfler. La déglutition deviendra de plus en plus pénible. Puis viendront les troubles auditifs, les troubles visuels, ensuite. C’est l’évolution classique. Les spasmes viendront plus tard précédant de peu l’agonie. C’est à ce moment là que les mouches attaqueront. — (Michel AudiardUn taxi pour Tobrouk , 1961)

Âlïndïpa

Sepe

Pandôo

Sepe

agonie \sêndagô ?\

  1. gïöngö-bê