ami
Pandôo 1
Sepeami \a.mi\ linô kôlï
- mbâ, matê, kulä
- Quoique […] j’eusse économisé quelques sous sur mes omnibus et mes déjeuners, il me fallut, plusieurs fois, avoir recours à l’obligeance d’un ami afin de payer des termes en retard et les dettes criardes. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : La Tête coupée )
- De son chef, il descendait à la cave, remontait litres et carafes, invitait les amis qui passaient, même le gros Zidore, et cela se terminait habituellement par une cuite générale, dans laquelle tous roulaient sous la table. — (« Un renseignement précis » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- L’ami véritable, c'est celui qui te demande seulement d'être toi-même. [...] Si tu trouves un ami sincère, regarde-le et chéris-le comme un frère offert par les ancêtres. Les faux amis, ceux qui te flattent dans le succès et te conspuent dans la défaite, ceux qui te sourient dans le triomphe et te poignardent dans la souffrance, chasse-les de ta vie comme des animaux malfaisants. — (Pierre Bordage, Wang – I. Les portes d'Occident , « J'ai Lu », 1997, lêmbëtï 187)
- Ami d’enfance, ami de collège.
- Être ami dans la bonne et dans la mauvaise fortune.
- Être ami à toute épreuve.
- Être ami jusqu’à la mort.
- Se faire des amis.
- Traiter, parler, agir en ami.
- Cela n’est pas d’un ami, d’un bon ami.
- Il ne faut point de cérémonie entre amis.
- Tout est commun entre amis.
- Elle est fort son amie.
- Les bons comptes font les bons amis.
- L’ami de la maison, celui qui fréquente le plus souvent une famille et qui vit dans l’intimité de ceux qui la composent.
- , kâmba tî bê
- Venez donc avec votre amie, dimanche prochain.
- Je ne pourrai pas te voir vendredi soir, car je vais au cinéma avec mon amie.
- Mon ami est parti à l’étranger pour trois mois, et je m’ennuie beaucoup.
- lindisû: Bon ami, bonne amie se disaient familièrement autrefois pour amant, maîtresse.
- Elle a un bon ami. Il va voir sa bonne amie.
- kamarâde
- Bien, bien, ma cousine ! il y a deux façons de me servir : l’une en exterminant mes ennemis, l’autre en secourant mes amis. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre XI)
Pasûndâ
Sepeami \a.mi\ linô gâlï linô kôlï
- nzö
- Les destins amis.
- La fortune amie.
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï