Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

avorton \a.vɔʁ.tɔ̃\ linô kôlï

  1. përëmäa
    • Un informe avorton.
  2. (Hëngö-ndo, Könöngö) ndûrûkpâ (zo wala nyama)
    • Eh ! monsieur, les avortons naissent tous centenaires. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • A cet instant la porte de la cour vomit un petit homme au visage blême et grêlé, […]. Et comme cet avorton levait le nez en notre direction, Bob aussitôt se rendit à sa table […]. — (Francis CarcoImages cachées , 1928)
    • Ceux qui sont dans les musées, les vrais avortons, y a des gens que ça rend malades, rien que de les voir et prêts à vomir. — (Louis-Ferdinand CélineVoyage au bout de la nuit , Denoël et Steele, Paris, 1932 (réédition Gallimard, Folio #28, 2019, lêmbëtï 468)
    • – Ah ! mon Dieu ! ce petit avorton ! Je n’ai jamais rien vu d’aussi affreux ! Écoutez, il faut que je l’embrasse, il est trop laid ! — (Léon Frapié, « Les disciplinaires » na Les contes de la maternelle , éditions Self, 1945, lêmbëtï 100)

Âlïndïpa

Sepe