Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

bêlement \bɛl.mɑ̃\ linô kôlï

  1. totoângäsa na âtaba
    • Il ne voulait pas lâcher son mouton, mais les bêlements semblaient s’éloigner et la maudite bête tirait sur sa corde et refusait de pénétrer dans le fourré. — (Charles DeulinLes Muscades de la Guerliche )
    • Le rugissement des lions, le hennissement des chevaux, le braiement des ânes, le bêlement des béliers, le mugissement des taureaux, le grognement des cochons, des sangliers et des verrats, le raîment des cerfs, la voix grêle des gazelles, le murmure amoureux des rongeurs, les cris inarticulés des singes, les hautes clameurs des alouettes, le triste hurlement des hyènes, le glapissement des renards, le gromellement des blaireaux, &c. ; enfin tous ces accens divers dont résonnent les forêts et les déserts sauvages, ne sont dans les animaux que l’expression des desirsModèle:sic ! d’amour. — (Nouveau Dictionnaire d’histoire naturelle , Imprimerie de Crapelet, Paris, An XI (1803), tome XIX (Qot - Ryz))
    • On n’entend jamais, en traversant un village, le beuglement d’une vache, le bêlement d’une brebis. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Retourner au village, vivre avec nouveau parmi les racontars des femmes, écouter tout le jour les piaulements des dindes et des poulets, les bêlements des moutons, cela l’attirait peu.— (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)

Âlïndïpa

Sepe