Bâa ngâ : buche

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Un tas de bûches (1).

bûche \byʃ\ linô gâlï

  1. këkëwâ
    • Or, un matin, à quelques pas de ma demeure, une famille de ces ouvriers de la scie et de la hache s’empressait autour d'un amas considérable de bûches que le livreur juré venait d’aligner. — (« Études morales » na Annales de la Société d'émulation du département des Vosges , 1868, vol. 13, lêmbëtï 156)
    • En ce temps-là, c’était à chacun son tour d’apporter une bûche à l’école. Et quand c’était à moi, papa disait : « Couche-toi. On croira que tu es malade. » Mais ça n’a pas pu durer. Et la sœur qui nous faisait l’école l’a dit à papa. Ils se sont tout de même arrangés : il a été bêcher le jardin de l’école, en remplacement des bûches. — (Marcel ArlandTerre natale , 1938, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 155)
    • Octave, grand lecteur du Miroir de la Perfection, songe à saint François qui, par tendre respect pour les flammes, empêchait qu’on séparât les bûches brûlant encore. — (Marguerite YourcenarSouvenirs pieux , 1974, collection Folio, lêmbëtï 197)
  2. (Sûîsi) lamânde
    • Une bûche, le terme est bien connu des frontaliers, c’est tout simplement une amende. Et certains de nos concitoyens pourraient faire une belle flambée avec toutes les bûches qu’ils ont collectionnées ! — (Jean-François Besson, site www.ledauphine.com , 2012 → dîko mbëtï)
  3. (Lorraine) lamânde
    • bailler la buche : payer une amende

Âlïndïpa

Sepe