Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

babiller \ba.bi.je\ kürü palî

  1. dîko kperekpere, kperema
    • … alors que le vaniteux s’était affublé d’un habit de couleur et babillait avec autant d’insolence et d’orgueil qu’un fat ? — (Walter ScottIvanhoé , gbïänngö tî Alexandre Dumas, 1820)
    • La jeune métisse […], ne se fit pas prier pour babiller ; en quelques minutes elle mit le chasseur au courant des faits terribles dont elle avait été spectatrice. — (Gustave AimardLes Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
    • Je sais, tout ce qui est interdit devient soudainement très attirant. Du moins, c’est la conclusion qu’a tirée sœur Carmelle la centième fois où elle m’a pognée en train de babiller dans le corridor en sixième année. — (Geneviève Pettersen, « Couvre-feu: ce n’est pas la fin du monde » na Le Journal de Québec , 7 Nyenye 2021)
  2. dîko kpekpë
    • Une année, deux années s’écoulèrent. Le fils d’Elhamy fut sevré, grandit ; il babillait gentiment sous la garde de sa nourrice …. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)

Âlïndïpa

Sepe