Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî 1

Sepe

blaguer \bla.ɡe\ kürü palî

  1. (Mbumbuse) sâra tënë tî ngîâ, tö mböngö
    • — « Pourquoi te plains-tu ? » — disait tendrement un ami blagueur à un ami blagué. — « Il n’y a pas de quoi ! je blaguais ! Tu n’as donc pas compris que c’était là une plaisanterie ? » — (Jules Barbey d'AurevillyLa Littérature du Tabac & La Blague en Littérature , Rumeur des Ages, La Rochelle, 1999, lêmbëtï 36)
  2. (Oksitanïi, Sên-Pyêre na Mikelöon, Bretagne) sö pande, tene kperekpere

Palî 2

Sepe

blaguer \bla.ɡe\

  1. (Mbumbuse) mumana
    • « Tout de même en voilà un que j’ai solidement blagué, lui et son juste-milieu, se dit Bouchard en riant dans sa barbe. »— (StendhalLucien Leuwen , 1834)
    • Quelques-uns, particulièrement solides quant au moral, en arrivent à blaguer leur mal, à le tourner en dérision. Ils semblent lui dire : « Tu ne m'auras pas… » Ce n'est pas une très mauvaise tactique de résistance. — (Léon DaudetSouvenirs littéraires – Devant la douleur , Grasset, 1915, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 162)
    • Là-dessus, allons déjeuner, […]. Entre la poire et le fromage, nous blaguerons un peu les habitants de Rambervillers ! — (Gustave FraipontLes Vosges , 1923)
    • Si on blaguait ses tics et ses manies de professeur, c'était avec une espèce de respect et de fierté. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa

Sepe