Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Une bouillotte. (sens 2)

bouillotte \bu.jɔt\ linô gâlï

  1. mbelêka
    • Pour couper court à tout cela, M. Delsaux fit un rapport contre ce brave Jean et il fut envoyé à la bouillotterie ; son service consistait à ramasser les bouillottes que les agents du petit entretien jetaient sur les voies en nettoyant leurs voitures, […]. — (Gustave Martin, Mémoires d’un cheminot du P.-L.-M. : 1876-1908 , Paris : chez Jouve, 1911, éd. Ligaran, 2016)
  2. → bâa bouille
    • [...] c’est quand même le genre de laideur qui pousse une gonzesse à vous tomber dans les bras simplement parce qu’il lui est agréable de penser qu’après que les gens auront biglé votre bouillotte et que ça leur aura coupé la chique, ils la regardent elle et pousseront un soupir de soulagement. — (Peter CheyneyLa Môme vert-de-gris , gbïänngö tî Marcel Duhamel, Gallimard, 1945, chapitre V)
    • Thôphi, c'est-y au Crozant (pour à Crozant) ou au Sagnat (pour à Sagnat) que tu veux que je t’enterre ? Dis-le-moi, te gêne pas. Au Crozant, le cimetière est plus respirable et bien sec, dans le roc ; au Sagnat il est plus rencoin, plus chez soi, bien douillet. » Parot geint. « Oh ! mon Thôphi. Eh bien ! t'en fais une bouillotte : quelle jolie grimace tu vas nous laisser en souvenir ? — (Marcel JouhandeauChaminadour , Gallimard, 1941 na 1953, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 365)

Âlïndïpa

Sepe