Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

bourrin \bu.ʁɛ̃\ linô kôlï

  1. korôrö
    • Et l'on sait que le péjoratif bourrin, bourrique, qui veut dire primitivement âne ou cheval, ânesse ou jument de couleur rousse (grec puros, purichos, latin burrhus ou burrus, burricus) désigne une bête de qualité inférieure à la fois sotte et méchante. — (L'Intermédiaire des chercheurs et curieux , 1994, ânömörö 508 à 518)
  2. (Mbumbuse, Na sïönî nî, Könöngö) mbârâtâ
    • Vite, nous apprenions à prendre un prudent recul lorsque quelque charmant bourrin, arrêté au trottoir, venait, en cataracte, à soulager sa vessie. — (Albert SimoninConfession d’un enfant de la Chapelle )
    • Mais entre deux brancards, dis donc ! Comme un bourrin !... — (Robert MerleWeek-end à Zuydcoote , 1949, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 11)