Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Un cabillaud.

cabillaud \ka.bi.jo\ linô kôlï

  1. (Susu) makayâbo
    • […] ; le soudac peut subir les mêmes préparations que le merlan et cabillaud, c'est à dire à la hollandaise, au gratin, frit, en entrées froides et chaudes très variées, quenelles, soufflés, etc., etc. — (Alphonse PetitTraité de la cuisine russe , 2e édition, Paris : chez Ernest Flammarion, 1865, lêmbëtï 94)
    • Pêle-mêle, au hasard du coup de filet, les algues profondes, où dort la vie mystérieuse des grandes eaux, avaient tout livré : les cabillauds, les aigrefins, les carrelets, les plies. — (Émile ZolaLe Ventre de Paris , 1878)
    • Parfois il y avait de la soupe, mais c’était […] de la soupe au cabillaud! […] Il y avait encore des boulettes blanches que je pris d’abord pour de la viande de veau, mais c’était du cabillaud haché. Trop de poisson. — (Jules LeclercqLa Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla , Paris : E. Plon & Cie, 1883, lêmbëtï 45)
    • Les Hollandais qui pêchent à deux pas de chez eux, sur le Dogger-bank, ne salent pas les morues en mer. Il les ramènent à terre entières et toutes vivantes. C’est ce qu’on appelle morue franche ou cabillaud. — (J.K. Roulle, Perdus en Islande , vers 1888)

Âkpalêtôngbi

Sepe

Âlïndïpa

Sepe