Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Une morue (1) de l’Atlantique.

morue \mɔ.ʁy\ linô gâlï

  1. (Sêndâsa) (Susu) makayâbo
    • Au cours du 20e siècle, alors que la Baltique s’eutrophisait, la biomasse et les débarquements de trois espèces de poissons (la morue (Gadus morhua), le hareng et le sprat (Sprattus sprattus)) ont augmenté et la biomasse des mammifères marins (phoques (Halichoerus grypus, Phoca hispida), marsouins communs (Phocoena phocoena)) a diminué. — (Journal canadien des sciences halieutiques et aquatiques/Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences , Gouvernement du Canada, 2002, tome 59, nömörö 1-3, lêmbëtï 173)
    • Deux femmes, la mère et la fille, celle-ci, Norine, rouleuse et célèbre, étalaient sur une table boiteuse de la morue, des harengs salés, des harengs saurs, un vidage de fonds de baril dont la saumure forte sautait à la gorge. — (Émile ZolaLa Terre , deuxième partie, chapitre VI)
    • Clarifions. Morue ou morlue vient du breton mor (mer) et du vieux français luz (brochet) ; cabillaud est une altération de bacalao, qui en espagnol signifie morue. Cabillaud et morue, c’est donc la même chose. L’usage cependant les distingue ; le premier est un produit frais ou congelé, tandis que la morue est salée et séchée. Morue fraîche relève de l’amphigouri de cuisine. — (Le Monde , 3 Kükürü 2011 → dîko mbëtï)

Âkpalêtôngbi Sepe

Âlïndïpa Sepe