Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Une calebasse (1).
 
Des calebasses (2).

calebasse \kal.bas\ linô gâlï

  1. (Sêndâsên) lêkëkëkëkë-kangû
  2. (Lâkûê) kangû
    • Il n’y avait dans ce lieu qu’une natte de feuilles de papaya, une calebasse pour puiser de l’eau, quelques vases de bois, une bêche, un serpent familier. — (François-René de ChateaubriandAtala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
    • Nous retournâmes à la hutte qui nous avait été assignée, où bientôt après le prince nous envoya une calebasse de lait et de déguet qu’il me priait d’accepter. — (René Caillié, « Voyage à Temboctou et à Jenné » na Revue des Deux Mondes , 1830, tome 1)
    • Alors, la sorcière lui a donné un parchemin dans une calebasse qu’il porte toujours sur lui quand il est en mer ; mais, à sa place, il y a longtemps que j’aurais jeté au feu parchemin et tout ; ou bien je l’aurais donné à un prêtre, car qui traite avec le diable est toujours mauvais marchand. — (Prosper MériméeLettres d’Espagne , 1832, rééd. Éditions Complexe, 1989, lêmbëtï 116)
    • C’était l’unique endroit où il leur était donné de rencontrer des femmes, le plus souvent des paysannes à silhouette de calebasse, alourdies de cabas, qui martelaient le sol d’un pas endolori. — (Amin MaaloufLes Jardins de lumière , 1991, Le Livre de Poche, lêmbëtï 45)
  3. (Tî halëzo) li
    • Ne rien avoir dans la calebasse (être simple d’esprit ou sot).

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï