Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

châtiment \ʃɑ.ti.mɑ̃\ linô kôlï

  1. gïä, gïängö, sönngö
    • L'attitude de la théologie chrétienne à l'égard des juifs a été fixée dans le début du IVe siècle (concile de Nicée, 325) : le judaïsme ne doit pas se faire connaitre, il doit vivre, mais dans un état d'avilissement et de misère tel qu'il fasse nettement apparaître aux yeux des croyants comme des incroyants le châtiment infligé par Dieu à ceux qui n'ont pas voulu reconnaître la divinité de Jésus. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • Quant à moi, […], je souhaiterais que des châtiments vraiment effrayants frappassent ceux qui, médecins ou matrones, pour de l'argent, se font les instruments de tels crimes. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Toutes sortes de châtiments le démangeait. Mais sans doute le guettaient-ils dans les rues où il ne passait pas. Quelquefois, c'est un fait, le châtiment guette mal, sa montre se détraque, et quand enfin il s'abat, il tombe sur un colègue modèle. — (Pierre Daninos, « Despotes cruels et divine Providence » na Daninoscope , 1963)
    • Jusqu'à il y a quatre ans, les tribunaux cafouillaient. Est-ce-que la chaise électrique et la chambre à gaz sont des châtiments cruels et inhabituels ? L'attente entre la condamnation et l'exécution est-elle un châtiment cruel et inhabituel ? — (Stephen KingLe Fléau , traduit de l'anglais, éd. J.-C. Lattès, 1991, chap. 24)

Âlïndïpa

Sepe