Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
La chanteuse de blues Bessie Smith

chanteuse \ʃɑ̃.tøz\ linô gâlï

  1. (Gbätä) wahëngö-bîâ
    • Par exemple, avez-vous quelquefois réfléchi à certains mots irréguliers de notre langue qui ne prennent pas le féminin, comme les autres mots de la même famille, tels que : poëte, auteur, écrivain, peintre, sculpteur, architecte, compositeur, littérateur, etc. ? Pourquoi ne dit-on pas : peintresse, architectesse, poëtesse, comme on dit : prophétesse ou prêtresse ; ni sculptrice ou autrice, comme on dit : actrice ou lectrice ; ni littérateuse ou compositeuse, comme on dit : chanteuse ou danseuse ; ni écrivaine, comme on dit : souveraine ? Pourquoi, dans ces cas-là, faut-il avoir recours à la périphrase : une femme auteur, une femme peintre, une femme compositeur, et ainsi de suite ? — (« Mémoire sur les femmes littéraires » na Émile DeschampsL’investigateur : journal de la Société de l’Institut historique , 1847, volume 7, 2e série lêmbëtï 121 → dîko mbëtï)
    • C’est avec émotion que la chanteuse, qui a notamment accompagné l’idole des jeunes pendant les années yé-yé et comptait, avec lui, parmi les têtes d’affiche de la revue Salut les copains, réinterprète des titres aussi célèbres que La musique que j’aime (1973), Gabrielle (1976), Quelque chose de Tennessee (1985), ou encore Sans pour sang (1999), vendu à plus de 2 millions d’exemplaires et signé par le fils Hallyday. — (journal CNEWS , 29 Nabändüru 2018, lêmbëtï 18)

Âkpalêtôngbi

Sepe

Âlïndïpa

Sepe