compagnie
Pandôo
Sepecompagnie \kɔ̃.pa.ɲi\ wala \kɔ̃.pa.ni\ linô gâlï
- didä
- Une nombreuse compagnie.
- Il fut bien reçu, lui et sa compagnie.
- Aimer la compagnie.
- Recevoir compagnie chez soi.
- Il est très aimable en compagnie.
- Il n’y a ou il n’est si bonne compagnie qui ne se sépare ou ne se quitte : (Mato), souvent (Hëngö-ndo) Pour faire comprendre, à une ou des personnes qu’on quitte, qu’on n’est pas fâché de s’en séparer.
- Un jeune paysan marchait devant, touchant alternativement de son aiguillon les cornes des bœufs.
Sans modifier le pas, il ôta son béret.
– Bonjour, Isabeline, dit-il, et la compagnie. — (Pierre Benoit, Mademoiselle de la Ferté , Albin Michel, 1923, réédition Cercle du Bibliophile, lêmbëtï 31) - « Allez, au revoir, la compagnie ! » — (Marcel Pagnol, Le Château de ma mère , 1958, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 91)
- (Gïngö-nyama) gângbi, li
- Une compagnie de perdreaux, de faisandeaux.
- La femme, les enfants couraient comme un vol de perdreaux, se posaient haletants derrière un buisson. Et parfois le tireur s’acharnait sur cette compagnie. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit , 1951, réédition Folio Plus, lêmbëtï 277)
- Ils [des perdreaux] ne prirent par leur vol, comme si ma présence désarmée n'exigeait pas les grands moyens. Alors, je ramassai des pierres et je les lançai devant moi : un bruit énorme, pareil à celui d'une benne de tôle qui vide un chargement de pierres, me terrorisa ; pendant une seconde, j'attendis l'apparition d'un monstre, puis je compris que c'était l'essor de la compagnie, qui fila vers la barre, et plongea dans le vallon. — (Marcel Pagnol, La gloire de mon père , 1957, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 303)
- Bêtes de compagnie : Jeunes sangliers qui vont par troupes.
- Ce sanglier a quitté les compagnies : Il commence à aller seul.