coton
Pandôo
Sepecoton \kɔ.ˈtõ\ , \kɔ.tɔ̃\ wala \kɔ.tɔŋ\ linô kôlï linô wâwa
- kotöon, tukîa
- J’obstrue avec du coton et de l’étoupe la brèche que présente le pont. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
- La technique de récolte du coton laisse la plante en place, avec une quantité importante de matière végétale en partie lignifiée à détruire par brûlage, ou à réduire en brins courts pour favoriser l’enfouissement et la décomposition dans le sol. — (La Motorisation dans les cultures tropicales , Éditions Quae, 1998, lêmbëtï 297)
- Les produits viennent surtout naturellement des grandes régions de l’industrie textile : Mulhouse pour les tissus de coton et la mercerie, le Nord pour les lainages, Troyes pour la bonneterie. — (Jean Pierre Fruit, Vexin normand ou Vexin parisien?: Contribution à l’étude géographique de l’espace rural , Presse Universitaires de France, 1974, lêmbëtï 158)
- Se boucher les oreilles avec du coton.
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï