Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

dimanche \di.mɑ̃ʃ\ linô kôlï

  1. lâyenga
    • Au commencement du mois d’avril 1813, il y eut un dimanche dont la matinée promettait un de ces beaux jours […]. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • De nouveau il crachinait. Le printemps du dimanche n’avait été qu’un faux-semblant et l’aube du lundi avait ramené les nuages. — (Pierre LucasPolice des mœurs , Vauvenargues, 2014, nömörö 66 : Les dingues du Hainaut, chapitre 11)
    • Pour Alexis, Gustave et Clotilde, le dimanche ne présentait qu’un intérêt négatif, celui de ne pas aller à l’école. Autrement, c’était un jour de vide et de perfection, une mauvaise copie des autres jours, triste comme les premiers jours de la Bible quand on n’était pas encore abrité du bon Dieu qui vous observait du coin d’un nuage, ou en posant son œil dans un triangle. — (Marcel AyméLa Jument verte , Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 178)
    • Il n’y avait plus qu’a faucher le blé noir, arracher les pommes de terre et gauler noix et châtaignes ; de ceci les gamins se chargeaient le jeudi et le dimanche, pour se distraire. — (Henri BachelinLe Village , Marivole Éditions, 2013, chapitre 3)
    • Pas grand-chose, ses quelque part, rien que des dimanches, des lundis de Pentecôte, des 14 Juillet, des jeudis de l’Ascension pour un pique-nique en forêt, un après-midi à la plage à sept ou huit kilomètres de chez nous. — (Irène FrainIl me fallait de l’aventure , La Tour-d'Aigues : Éditions de l'Aube, 2018)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï