Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

domination \dɔ.mi.na.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. dörököngö-ndo
    • D’origine berbère ou carthaginoise, elle passa successivement sous la domination romaine, vandale, byzantine et arabe. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 145)
    • Dès qu’on le regarde mieux, on retrouve vite chez lui la tare habsbourgeoise qui, comme la lèvre proéminente de la famille se transmet de génération en génération : l’orgueil impérial, la volonté implacable de domination et le fanatisme de l’Allemagne. — (Ernest DenisLa Question d’Autriche ; Les Slovaques, Paris, Delagrave, 1917, in-6 , lêmbëtï 60)
    • Encore plus que les armes, la force physique et les lois, l’idéologie assure la domination notamment en s’assurant la complicité forcée des dominés. — (Katherine Roussos, Décoloniser l'imaginaire , L'Harmattan, 2007, lêmbëtï 74)
    • Dans cette structure bureaucratique, voire bureaupathologique (Thompson, 1969), la domination de la rationalité légale fait primer le formalisme juridique sur le contenu des productions ou services, autrement dit, systématiquement la forme sur le fond.— (« La pratique de la psychodynamique du travail en institution, entre domination et résistance » na Christophe Bounamous, Travailler , 2019/1, n° 41, pages 97 à 109)

Âlïndïpa

Sepe