Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

entrer \ɑ̃.tʁe\

  1. linda,
    • Une porte latérale s'ouvrit, et nous entrâmes dans une pièce voûtée où, sur un long potager, bouillaient dix ragoûts. — (Amans-Alexis Monteil, Histoire des Français des divers états aux cinq derniers siècles , page 11, 1841)
    • Ce jeune gentilhomme, comme l’avait annoncé l’amiral, entrait à Paris par la porte Saint-Marcel vers la fin de la journée du 24 août 1572, […]. — (Alexandre DumasLa Reine Margot , 1886, volume I, chapitre IV)
    • Des lois répressives furent édictées ; c’est ainsi qu’on défendit d’entrer et de mettre en vente en France des étoffes des Indes, de la Chine et du Levant, […]. — (Étienne DupontLe vieux Saint-Malo - Les Corsaires chez eux , éditions Honoré Champion, 1925, lêmbëtï 119)
    • Ruisselant de sueur, Jimmy tourna la clef dans la serrure, ouvrit la porte, fit entrer Jim et la referma derrière lui. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)
    • Comment Fagerolle était-il entré ? Il se souvint plus tard que Tacherot l'avait poussé en avant d'une bourrade. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 51)
  2. gbû
    • Jamais tout cela n’entrera dans ma poche. Combien peut-il entrer de tonneaux dans cette cave ?
    • (Zäzämä) Cette partie de la science n’entre pas dans le programme des études.
  3. (Mbumbuse, Wambenze) lï na
    • Entrer du tabac, du gibier en fraude.

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï