Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Un hangar pour avions.

hangar \ɑ̃.ɡaʁ\ linô kôlï

  1. gbalâka
    • La bergerie était longue, la grange était haute, à murs lisses comme la main. Il y avait sous le hangar deux grandes charrettes et quatre charrues, avec leurs fouets, leurs colliers, leurs équipages complets. — (Gustave FlaubertMadame Bovary , 1857)
    • Il ne reste plus qu’à faire sécher l’écorce sur un lit de perches disposées en plan incliné, à la nettoyer à l’intérieur avec un râcloir et à la lier en bottes que l’on met en meules ou que l’on transporte dans un hangar. — (Edmond NivoitNotions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 174)
    • Le hangar, dans lequel le bois était renfermé, s’élevait à cinquante pas environ sur la gauche et en arrière de la maison principale. — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • Sous le hangar, les chevaux, harcelés par les mouches et piqués par les taons, s’ébrouaient. — (Octave Mirbeau, « La Bonne » na Lettres de ma chaumière , 1885)
    • Ils guignaient depuis longtemps, pour leur nouvelle installation, […], une petite boutique, en forme de hangar, avec une vitrine d’une seule glace et une unique pièce sur le derrière. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 47)
    • Comme aux très anciennes bâtisses, l’auvent du toit dévale presque jusqu’au sol, en guise de hangar. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa

Sepe