intérieur

Yângâ tî Farânzi

Pasûndâ

intérieur \ɛ̃.te.ʁjœʁ\

1. tî yâ
   • D'un autre côté on a prohibé l’exportation de certains produits, dans la crainte qu'il n'en restât plus en assez grande quantité pour la consommation intérieure, ou que les autres nations n'en tirassent avantage. — (, Lectures sur l'histoire et les principes du commerce chez les anciens , traduit de l'anglais par M^lle F. G., Paris : chez Guillaumin & C^ie, 1856, lêmbëtï 117)
   • La loi du 21 mars 1991 est venue considérablement bouleverser le régime du transport ferroviaire intérieur, resté pratiquement inchangé depuis 1891. — (Traité pratique de droit commercial : T.P.D.C. , Kluwer, 1990, t. 2, lêmbëtï 1068)
   • Les parties intérieures du corps.
   • Il sent un feu intérieur qui le consume.
   • Maintenir la tranquillité intérieure.
2. (Nzapä) (Mbîrîmbîrî nî) tî yingö
   • L’homme intérieur, l’homme spirituel, qui est opposé à l’homme charnel.
   • La vie intérieure.

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine