Bâa ngâ : midïi, midí

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

midi \mi.di\ linô kôlï

  1. bêkombïte;midïi
    • Le matin, le midi et le soir.
    • Cette glace fondait un tantinet à midi mais regelait le soir, et, chaque matin, on commençait par la repolir avec amour. — (« Deux Veinards » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Heure de midi, que tu es belle, toute gonflée du plaisir de la pause ! […] Trêve, calme, apaisement, ô belle heure de midi ! Tu règnes sur un peuple en détente de nerfs et de muscles, tu es la souveraine d’un royaume immobile et figé. — (Maurice BedelTraité du plaisir , 1945)
    • C’est Montparnasse, il est midi et quart. — (Marie CardinalLa souricière , Julliard, 1965, lêmbëtï 110)
    • Les charrettes et les chars étaient là dès potron-minet, voire dès la veille, car le marché était clappé dès prime ; il durait jusqu’à midi. — (Alain Derville, Saint-Omer : des origines au début du XIVe siècle , page 189, Presses Univ. Septentrion, 1995)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï