mot
Pandôo
Sepemot \mo\ linô kôlï
- mbupa
- Il fit une seconde halte pour lire ces mots : À la Belle-Étoile, écrits en légende sous une peinture qui représentait le simulacre le plus flatteur pour un voyageur affamé : c’était une volaille rôtissant au milieu d’un ciel noir. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre IV)
- On n’a pas évoqué une chose quand on l’a appelée par son nom. Les mots, les mots, on a beau les connaître depuis son enfance, on ne sait pas ce que c’est. — (Henri Barbusse, L’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
- Et sa voix alors prenait une intonation dolente et uniforme, enflant les mots, appuyant indéfiniment sur les syllabes. Cela m’agaçait beaucoup. — (Octave Mirbeau, La Chanson de Carmen , 1990)
- Bien qu’il n’eût pu comprendre un seul mot de ce qui avait été dit, Bert éprouva un choc en remarquant le ton qu’avait pris l’homme. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 247)
- D’ailleurs il a pas mal lu, Nastase ; autrefois, avec Totome, ils passaient des soirées et des veillées à chercher des mots chics dans le petit Larousse. — (« Un point d’histoire » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Les hommes ont forgé des mots pour expliquer cet inexplicable. Ils ont dit : audace, confiance en soi, absence de scrupules. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930)
- Il s’interrompit net et nous fit un sourire plutôt torve et en coin, comme s’il désespérait d’arriver à traduire en mots sa pensée. — (Henry Miller, « L’Ancien Combattant alcoolique au crâne en planche à lessive » na Max et les Phagocytes , gbïänngö tî Jean-Claude Lefaure, éditions du Chêne, 1947)
- Ce que j'écoutais, ce que je guettais, c'était les mots : car j'avais la passion des mots ; en secret, sur un petit carnet, j'en faisais une collection, comme d'autres font pour les timbres.
J'adorais grenade, fumée, bourru, vermoulu et surtout manivelle : et je me les répétais souvent, quand j'étais seul, pour le plaisir de les entendre. — (Marcel Pagnol, La gloire de mon père , 1957, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 197) - Je ne saisis pas, quant à moi, un seul mot de leur jargon. Ni le maire, ni le curé je ne les entends. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- On étudiera également les possibilités d’épelation du malade pour des mots en rapport avec son niveau scolaire. — (Julián de Ajuriaguerra & Henry Hécaen, Le cortex cérébral; étude neuro-psycho-pathologique , Masson, 1960, lêmbëtï 170)
- S’il faut une grande intelligence pour créer un mot, quel âge a donc la parole humaine ? — (Philippe Sollers, Éloge de l’infini , Gallimard, lêmbëtï 368)
- Les mots sont la façon qu'a trouvée l'homme de donner du sens au chaos. — (Antoine Bello, Ada , 2016 ; édition Blanche, 2016, lêmbëtï 280)
- Si le mot « alcoolisme » est la définition « usuelle », le terme « œnolisme » est une expression plus médicale et assez élégante, mais à la campagne, on appelle ça tout bonnement « l’ivrognerie ».
Voilà un mot qui dit ce qu’il veut dire ! — (Michel Petit, Taote Feti'i, un médecin de famille à Tahiti , Éditions Publibook, 2012, lêmbëtï 92)
- (Mbäkôro) tënë-lombë
- Dans la devise de Louis XII, le corps était un porc-épic, et le mot Cominus et eminus ; dans celle de Louis XIV, le corps était un soleil, et le mot Nec pluribus impar.
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
Kataläan
SepePandôo
Sepemot \sêndagô ?\
Yângâ tî Oksitanïi
SepePandôo
Sepemot \sêndagô ?\