Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Une perdrix bartavelle.

perdrix \pɛʁ.dʁi\ linô gâlï

  1. (Ndeke) dödörö
    • C’étaient des volatiles appartenant à l’espèce des perdrix, et auxquels les dénominations zoologiques ne manquent pas. — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • Car la région que nous traversons est assez giboyeuse, et les grands nemrods de la m'halla, […], qui ont emmené des meutes de lévriers et des faucons chasseurs, font des hécatombes de lièvres, de perdrix, de poules de Carthage, de renards et de chacals. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 123)
    • La bartavelle, c'est la perdrix royale, et plus royale que perdrix, car elle est énorme et rutilante. En réalité, c'est presque un coq de bruyère. — (Marcel PagnolLa gloire de mon père , 1957, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 222)
    • Cette perdrix n'est pas la Caccabis Rufa, qui est beaucoup plus petite. C'est la Caccabis Saxatilis, c'est-à-dire la perdrix des roches, qu'on appelle aussi la perdrix grecque, et en Provence, la bartavelle. — (Marcel PagnolLa gloire de mon père , 1957, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 369)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï