Pandôo

Sepe
 
A pipe.

pipe \pɑɪp\

  1. kpôkpô

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Homme à la pipe de Paul Cézanne.

pipe \pip\ linô gâlï

  1. kpôkpô
    • La ville de Saint-Claude dans le Jura est la capitale mondiale de la pipe.
    • À propos de fumage ou de fumerie, — lequel des deux se dit ? — avertissons les romanciers qui n’ont pas renouvelé depuis quelques années les couleurs de leur palette locale, de ne pas s’aviser de mettre, à la bouche des Hollandais ou des Allemands modernes qu’ils dépeindront, des pipes de terre, de porcelaine ou d’écume de mer, — Alphonse Karr écrirait : de Kummer ; — on ne fume plus que le cigare par tous les pays que nous avons parcourus. — (Théophile GautierCe qu’on peut voir en six jours , 1858; réédition Nicolas Chadun, âlêmbëtï 179-180)
    • Connaissez-vous Turinaz ? me demanda […] le père Milot, le cordonnier de Longeverne, tandis que je fumais une pipe près de sa banchette en le regardant tirer le ligneul. — (« Un point d’Histoire » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Mais que ce soient des pipes en maïs, en bruyère ou en écume, les New-Yorkais ne savent pas fumer la pipe. Ils l’allument et la laissent s’éteindre, la mettent dans leur poche, la rallument deux minutes plus tard, et ainsi de suite. Je me demande quel plaisir ils peuvent bien y prendre. — (Hugues PanassiéCinq mois à New-York , 1947, Éditions Corrêa, lêmbëtï 73)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï