Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

 
Un Français pleure lors du départ de l’armée française qui quitte Marseille en 1941.

pleurer \plø.ʁe\ wala \plœ.ʁe\ linô kôlï

  1. toto
    • […] des hommes mûrs pleuraient à la vue du drapeau étoilé soutenu par tout le corps de ballet noyé sous les clartés des projecteurs. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 213)
    • Elle avait dû, jadis, pleurer deux fois chaque chagrin, car ses prunelles aussi étaient rouillées. — (Jean GiraudouxProvinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 24)
    • Elle mit un instant à recouvrer son souffle. Non ! Elle ne pleurerait pas devant lui. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira » na Trois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • Elle pleurait simplement, sans aucun sanglot, mais n’en paraissait que plus pitoyable. — (Pierre LouÿsTrois filles de leur mère , Paris, 1926, chapitre 4)
    • Autant pour moi monsieur le directeur, autant pour moi. Si ça continue, c’est moi qui vais finir par pleurer ! Mais rassurez-vous, juste des larmes d’expert-comptable, monsieur le directeur. — (Emmanuelle Ménard, Deux jours comme l’hiver , L’Harmattan, 2012, lêmbëtï 41)

Pandôo Sepe

pleurer \plø.ʁe\ wala \plœ.ʁe\ linô kôlï

  1. tötöngö-terê
    • C’était un pleurer silencieux et résigné qui ne cherchait ni à se contenir ni à se montrer.— (George SandJeanne , 1844)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï