Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe

poisse \pwas\ linô gâlï

  1. (Mbumbuse) sïöpäsä, mopï
    • Quant à Monory, le ministre en chef de l’Éducation nationale, on peut imaginer ce qu’il rumine en lui-même : je le savais, je le savais, je le savais, c’est le ministère de la poisse. Et pourtant, j’ai accepté. Pas un ministre de l’Éducation nationale qui ait échappé à cette fatalité. — (Serge July, « Le ministère de la poisse » na La drôle d’année , Éditions Grasset, 1987)
    • Je ne donnais pas cher de l’avenir de Pauline. Au mieux elle passerait pour une gourde. Au pire pour une complice. Quelle poisse ! Quelle foutue saloperie de poisse !
      On ne pouvait même plus retourner chez Breton. Les flics allaient s’empresser de lui faire un brin de causette.
      — (Patrick Pécherot, « La trilogie parisienne » na Folio Policier, Éditions Gallimard, 2013 , tome 1 Les brouillards de la Butte)

Pandôo 2

Sepe

poisse \pwas\ linô gâlï

  1. (Ngbêne) wanzï
    • Rappelle-toi. C’était plein de poisses, le Montmartre de cette époque là. Uniquement. Et desquels ? Des méchants. Des brutaux. — (Francis CarcoImages cachées , 1928)

Âlïndïpa

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