porte
Pandôo
Sepeporte \pɔʁt\ linô gâlï
- (Kua tî mabäyä) yângâda, yângâ tî da
- Il remarqua que la porte de dehors n’était fermée qu’au loquet alors que, la veille au soir, il était sûr d’avoir poussé le verrou. — (« La Vengeance du père Jourgeot » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- A cet instant, la porte de la rue s’ouvrit et un homme encore jeune, visiblement saoul, entra. C’était le comique du quartier. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai , 1927)
- M. Constant pressa le bouton d'une sonnerie et jeta un ordre au gardien qui surgit dans l’entre-bâillement de la porte. — (Francis Carco, Les Hommes en cage , 1936, Paris: Éditions Albin Michel, âlêmbëtï 151)
- La veille de ce mercredi 12 juin, mon ami Maurice Andin, […], avait été arrêté à son domicile et la police y avait laissé un inspecteur. C'est lui qui m’ouvrit la porte lorsque je tombai dans la souricière. — (Henri Alleg, La Question , 1957)
- Il poussa la porte si fort que le fer à cheval suspendu au linteau de chêne tinta faiblement. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- yângâ tî gbätä
- Nous avancions tristes et mornes, mais tout à coup se présente la magnifique ville de Troyes avec sa porte guerrière, son menaçant béfroi, ses hauts boulevards, ses hautes tours, ses longues murailles crénelées. — (Amans-Alexis Monteil, Histoire des Français des divers états aux cinq derniers siècles , 1830, lêmbëtï 30)
- Ce jeune gentilhomme, comme l’avait annoncé l’amiral, entrait à Paris par la porte Saint-Marcel vers la fin de la journée du 24 août 1572. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre IV)
- Une antique muraille encerclait la cité, livrant passage, par une vaste et belle porte fortifiée, à une grand’route bordée d’arbres. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 105)
- La ville avait la réputation d’être imprenable ; son château s’élevait à l’est et la ceinture de murailles qui entourait la cité venait s’y attacher ; des portes, des bastions, des fossés formaient un respectable appareil de défense. — (Gustave Fraipont, Les Vosges , 1923)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï