Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Une quinte à l'as. (2)

quinte \kɛ̃t\ linô gâlï

  1. (Mbumbuse) tîko
    • Une quinte de toux. Il a eu toute la nuit des quintes très pénibles.
    • Le bonhomme voulut bien rire de cette plaisanterie, ce qui lui donna une terrible quinte. — (Hector MalotSans famille , 1878)
    • Il haussa les épaules, et cet effort amena une nouvelle quinte de toux. — (Maurice Constantin-WeyerUn homme se penche sur son passé , 1928, réédition Nelson, lêmbëtï 122)
    • Et, tout à coup, je vis deux visages, trois visages. Et je compris que je pleurais. Le garçon s’était éloigné, et moi je pleurais, sans un sanglot, sans une quinte. — (Henri TroyatLe mort saisit le vif , 1942, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 159)
    • À cette annonce, Paul fut sais d’un accès de rire en trois quintes si violentes qu’elles dévièrent une bouchée de sardines à la tomate, et je crus qu’il allait périr sous nos yeux ; mais quelques tapes dans le dos lui permirent de retrouver sa respiration. — (Marcel PagnolLe temps des secrets , 1960, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 117)
  2. (Mbäkôro) wümä, yê tî kîrîkiri
    • Il est sujet à des quintes, à des quintes d’humeur. Je ne sais quelle quinte lui a pris.

Âlïndïpa

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