Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

sanction \sɑ̃k.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. pîka tî ndïä
    • Les philippistes déterminèrent le prince électeur Auguste à donner la sanction légale à un recueil des écrits de Mélanchthon , et , comme il régnait en qualité de tuteur sur Weimar-Iéna, à chasser du pays les zélateurs luthériens Wigand et Hesshus (1573). — (Johann Adam Möhler, Histoire de l’Église, publiée par le R. P. Gams de l'Ordre de Bénédictins, traduit de l'allemand par l'abbé P. Bélet, Paris : chez Gaume frères & J. Duprey, 1869 , vol. 3, lêmbëtï 170)
    • Les députés se demandèrent donc si la sanction royale étaient indispensable à la validité des textes constituants. […]. Les lois constitutionnelles ne devaient donc pas être sanctionnées par le roi. — (Jacques GodechotLes constitutions de la France depuis 1789 , Garnier-Flammarion, 1970, lêmbëtï 28)
  2. (Könöngö) mângbi, yëkängö
  3. pâsi
    • Chénon cite deux textes, un burgonde et un wisigothique qui parlent de telles pratiques, le texte wisigothique prononce d'ailleurs des sanctions, l'exil, contre les parents coupables. — (Gabriel Lepointe, La Famille dans l'Ancien droit , Montchrestien, 1947 ; 5e éd., 1956, lêmbëtï 114)
    • Au regard de la discipline ecclésiastique, cette lettre laisse songeur, car la seule sanction grave pour des prêtres est la suspension a divinis, l’interdiction d’administrer les sacrements. — (Sylvie Bernay, L’Église de France face à la persécution des juifs: 1940-1944 , CNRS Éditions, 2012)

Âlïndïpa

Sepe