Yângâ tî Farânzi

Sepe

Penzelö tî palî

Sepe

se perdre \sə pɛʁdʁ\

  1. girisa
    • Le paysage était d'une indicible grandeur. De tous côtés surgissaient des montagnes plongeant à pic dans la mer, tandis que leurs cimes neigeuses se perdaient dans les nuages; […]. — (Jules LeclercqLa Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla , Paris : E. Plon & Cie, 1883, lêmbëtï 31)
    • Ils quittèrent la maison par la porte de derrière et s’engagèrent dans une petite allée bordée de troènes qui se perdait un peu plus loin entre des ormes et des sycomores. — (Julien GreenMoïra , 1950, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 163)
    • D'autres se perdront, exilés de nulle part, s’oublieront dans un anonymat total, sous un faux nom. Anonymes même dans la mort, parfois. — (Sylvie Quesemand-Zucca, « Remarques d'une psychiatre-psychanalyste sur les défis que pose la grande exclusion (chapitre 8) » na Olivier DouvilleClinique psychanalytique de l'exclusion , Dunod, 2012, lêmbëtï 205)
  2. girisa lêgë
    • Achevons de nous mêler aux soixante mille habitants que renferme actuellement la capitale géorgienne. Perdons-nous à travers le labyrinthe de ses rues, au milieu de sa population cosmopolite. — (Jules VerneClaudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 1)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï