souris
Pandôo 1
Sepesouris \su.ʁi\ linô gâlï
- (Nyama) deku
- Le meilleur préservatif contre les souris est un chat, non pas un chat angora, mais un chat à poil lisse et ras, rayé de gris et de brun, de la race commune appelée chat de gouttière. — (« Souris » na Jules Trousset, la Grande encyclopédie illustrée d’Économie domestique et rurale , Paris : chez Fayard frères, s.d. (vers 1875), lêmbëtï 2310)
- Anderson, qui écrivait en 1746, assure que la raison pour laquelle on ne trouve pas de souris en Islande, c'est que l'île tout entière n’est qu’un amas de soufre. Il est fâcheux pour Anderson qu’il y ait des souris en Islande comme partout, et même des moutons, des chevaux et des vaches , qui pourtant ne sont guère friands de soufre. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla , Paris : E. Plon & Cie, 1883, lêmbëtï 5)
- J’éduquais mon oreille à traduire des multitudes de sons infimes, petits trots de souris et grincements de bois, […]. — (Claude Collignon, L'œil de la chouette , Éditions du Seuil, 1988, lêmbëtï 41)
- Vous conviendrez qu'une maison sans chat, c'est comme un curé sans sa soutane ou un Basque sans son béret : inconcevable! Les souris, ces amies de l'homme, risquent de pulluler. — (Jacques Mallouet, Le pays de l’écir: dans les monts du Cantal , Éditions Payot & Rivages, 1995, lêmbëtï 31)
Pandôo 2
Sepesouris \su.ʁi\ linô kôlï
- (Ngbêne) hëngö-ngîâ
- Heureux ceux qui meurent au berceau, ils n’ont connu que les baisers et les souris d’une mère ! — (François-René de Chateaubriand, Atala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
- Et les dames d'atour, pour qui tout prince est beau, / Ne savent plus trouver d'impudique toilette / Pour tirer un souris de ce jeune squelette. — (Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal , Spleen LXI)
Pasûndâ
Sepesouris \su.ʁi\
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï