Bâa ngâ : sterile

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

stérile \ste.ʁil\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. (Düngö) ngömbo
    • Fleur stérile : Celle où ne s’opère point la fécondation.
    • Femme stérile : Femme qui ne peut pas avoir d’enfants, qui n’est pas propre à la génération.
    • Femelle stérile : En parlant des animaux.
    • Ce qui m’embêtait, c’est qu’on pouvait pas avoir de gosses. On en a vu, des médecins, pour ça, tiens ! C’est ma femme, à ce qu’il paraît. Elle est…
      Il cherchait le mot.
      Stérile ?
      — Mais non, dit Pinot d’un air choqué, qu’est-ce que tu vas chercher là ? Elle ne peut pas avoir d’enfants, voilà tout.
      — (Robert MerleWeek-end à Zuydcoote , 1949, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 97)
    • Toutes les jumelles ne sont pas aptes à la reproduction ; on a constaté en particulier que 90 p. 100 des femelles, co-jumelles de mâles, sont stériles ou subfertiles : ce sont les free-martins (Lillie, 1916, 1917 ; Keller et Tandler, 1916). — (Recherches sur l'induction expérimentale de naissances gémellaires chez les bovins , Institut National de la recherche agronomique, 1970, lêmbëtï 11)
    • Le Bon Dieu est censé nous avoir puni de ces pratiques, de ces potions, de ces interruptions, que sais-je, en me rendant, moi, dernière de la lignée, aussi stérile que la lande à bruyères. — (Marie DarrieussecqClaire dans la forêt , nouvelle, supplément au magazine « Elle », 2000, lêmbëtï 8)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï