thé
Pandôo
Sepethé \te\ linô kôlï
- dutëe, chaillë, sâi
- Le thé est d’un grand secours pour s’ennuyer d’une manière calme. Entre les poisons un peu lents qui font les délices de l’homme, je crois que c’est un de ceux qui conviennent le mieux à ses ennuis. — (Senancour, Oberman , Lettre LXIV)
- Et ce pauvre hère, ragaillardi lui aussi par le thé et la bonne chère, traduit alors la reconnaissance de son estomac repu par un concert qui porte la satisfaction générale à son comble. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 32)
- Sur une table, dans une petite casserole, au-dessus d’un réchaud à essence, trempait encore ce petit œuf creux, en métal perforé, dont se servent pour préparer leur thé les touristes soucieux du moindre bagage. — (André Gide, Les Caves du Vatican , 1914)
- La semaine suivante, Mme la directrice l’invita à venir boire chez elle une tisane anglaise qu’on appelait du thé. — (Marcel Pagnol, Le Château de ma mère , 1958, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 230)
- Mamie boit du thé noir au petit déjeuner, du thé parfumé à la bergamote. Même si je ne trouve pas ça terrible, ça a toujours l’air plus gentil que le café, qui est une boisson de méchant. — (Muriel Barbery, L’élégance du hérisson , 2006, collection Folio, lêmbëtï 113)
- (Bangë) këkësâi, bûta
- Le thé est un arbrisseau d'une forme agreste, haut de cinq ou six pieds, commun à la Chine et au Japon ; il se plaît dans les lieux escarpés ; on le trouve plus souvent sur le penchant des collines et le long des rivières.— (Guillaume-Thomas Raynal, Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes , 1794, Volume 1, lêmbëtï 59)
- Chaque fermier a sa petite plantation de Thé sur laquelle est prise d’abord la consommation de la famille ; après quoi l'excédant est vendu pour suffire à d'autres besoins. — (Robert Fortune, Voyage agricole et horticole en Chine , gbïänngö tî M. le baron de Lagarde Montlezu, 1853, lêmbëtï 4)
- mbânge
- « Tu te sens accepté et quand tu rencontres un autre fumeur de thé. Tu te sens aussitôt en famille. »}} {{source
- Puis il se mettra à rouler une cigarette et pas seulement de tabac mais de « thé », celui de Kerouac.}} {{source
Pasûndâ
Sepethé \te\
- #FF866A Sô ayeke na nzorôko tî sâi
- Des bégonias rose thé étaient massés sous la fenêtre de la façade et des pensées formaient un tapis circulaire au pied d'un acacia. — (« L’homme qui aimait les chiens » na Raymond Chandler, Les ennuis, c’est mon problème , gbïänngö tî Michel Philip et Andrew Poirier, 2009)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï