Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
Court extrait d’un son de tonnerre (1).

tonnerre \tɔ.nɛʁ\ linô kôlï

  1. bëkpä
    • Il est possible que les coups de tonnerre se produisent en raison du roulement du vent dans les cavités des nuages, comme c’est le cas dans nos viscères, […]. — (ÉpicureLettre à Pythoclès , gbïänngö tî anonyme.)
    • Bientôt les roulements d’un tonnerre lointain, se prolongeant dans ces bois aussi vieux que le monde, en firent sortir des bruits sublimes. — (François-René de ChateaubriandAtala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
    • Le tonnerre éclata avec une force épouvantable, un tourbillon de vent s’engouffra dans la salle en défonçant une fenêtre. — (Gustave AimardLes Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
    • De tradition ardennaise, la fête de l’Assomption est un jour d'orage. Ce dicton, aujourd'hui, se confirmera: le tonnerre commence de se faire entendre. — (Isabelle RimbaudDans les remous de la bataille (Journal de guerre) , Le Mercure de France, 15 Juillet 1916, vol.1 : 28 juillet-28 août 1914)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï