tronc
Pandôo
Sepetronc \tʁɔ̃\ linô kôlï
- këkë, ngbonga
- Il n’y a pas jusqu’à ces pâles oliviers dont l’aspect n’ajoute à l’austérité du paysage. La plupart ont éclaté par le milieu, le tronc s’est effondré, l’arbre s’est séparé en morceaux […] — (Hippolyte Taine, Voyage en Italie , 1866, vol. 2)
- On vient d’abattre à Lyon un platane géant. Cet arbre cubait près de 12 mètres et le tronc seul pesait 19540 kilogr. — (Bulletin de la Société royale forestière de Belgique , 1908, volume 15, lêmbëtï 224)
- […] et déjà nous accostions à l’estacade du bois de la Chaise, un bois de pins tristes et d’yeuses superbes, aux troncs tordus, au feuillage presque noir. — (« Notes de voyage » na Octave Mirbeau, La Vache tachetée , 1918)
- Constatez, docteur, la férocité inintelligente des propriétaires de cette forêt, voyez ces kilomètres d’abatis, sans un seul tronc debout… — (Charles Le Goffic, Brocéliande , avec la collaboration d’Auguste Dupouy, La Renaissance du Livre, 1932, lêmbëtï 46)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï