Bâa ngâ : tûu, , tuu,

Yângâ tî Bambara

Sepe

Pandôo

Sepe

tu \sêndagô ?\

  1. gbakô

Yângâ tî Breton

Sepe

Pandôo

Sepe

tu \ˈtyː\ linô kôlï

  1. mbängö
    • Petra a zo en tu-ze ? — (Jules GrosLe Trésor du Breton Parlé - 2 , 1970, lêmbëtï 552)
  2. (Könöngö) kodëkua
    • An tu a zo an hanter euz al labour. — (Jules Gros (XXe siècle), Le Trésor du Breton Parlé - 3 , 1974, lêmbëtï 302)

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Polïpa zo

Sepe

tu \ty\ wala \t̪y\

  1. mo
    • Luke, tu es mon fils.
    • Ô Roméo, Roméo, pourquoi es-tu Roméo ? — (William ShakespeareRoméo et Juliette )
    • Où t’en vas-tu pensée où t’en vas-tu rebelle. — (Louis Aragon- )
    • Tu ne m’as pas répondu, l’autre jour.
    • Tu es heureux.
    • Tu m’as parlé de cette affaire.
    • Tu t’en repentiras.
    • Tu en auras des nouvelles.
    • Tu y étais.
    • Tu ne le verras plus.
    • Son « tu » me froissa un peu. Mais je lui répondis gaminement : « Tu trouves que j’ai engraissé ! » Il partit d’un fou rire. Et, à partir de ce jour, nous nous tutoyâmes et nous devînmes les meilleurs amis du monde. — (Ma double vie : mémoires de Sarah Bernhardt , Paris : Librairie Charpentier et Fasquelle, 1907, chapitre 13)
    • Le « tu » est un piège. Il a quelque chose d’étouffant et il instaure de moi à toi une intimité imaginaire avec des relents de grief, il rapproche pour reprocher. — (Annie ErnauxL'Autre fille, NiL, 2011 , lêmbëtï 62)

Yângâ tî Interlingua

Sepe

Pasûndâ wärängö

Sepe

tu \ˈtu\

  1. mo
    • « Esque isto es tu sposa ? » – « No, mi sposa non es presente. »

Polïpa zo

Sepe

tu \ˈtu\

  1. mo
    • « Proque tu ha un tal grande bucca? » – Lupo: « Perque io pote mangiar/inbuccar te plus ben! »