Pandôo

Sepe

voyage \ˈvɔj.ɪʤ\

  1. voyâzi


Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

voyage \vwa.jaʒ\ linô kôlï

  1. tambûla
    • Ce voyage si lent et si pénible nous a laissé un bon souvenir ; la rapidité excessive des moyens de transport ôte tout charme à la route : vous êtes emporté comme dans un tourbillon, sans avoir le temps de rien voir. Si l’on arrive tout de suite, autant vaut rester chez soi. Pour moi, le plaisir du voyage est d’aller et non d’arriver. — (Théophile GautierVoyage en Espagne , Charpentier, 1859, ch. XIII)
    • La tête en l’air, qui suit à Oxford quelques cours de botanique, se prépare à devenir pasteur quand une chance imprévue s’offre à elle : on lui propose de partir, au titre d’homme de compagnie du capitaine Robert Fitz-Roy, âgé de vingt-six ans et au caractère difficile, pour un très long voyage d’étude. — (Jean d’OrmessonC’est une chose étrange à la fin que le monde , 2010, ISBN 978-2-221-12336-2)
    • Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, (...).— (Émile ZolaAu Bonheur des Dames , 1883 - Éditions Gallimard, 1980, ISBN 2070409309, lêmbëtï 29)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï