Dieu
Pandöo-ïrï
SepeDieu \djø\ linô kôlï
- (Nzapä) Nzapä
- Les hommes sont endormis, susurrait Jean-Louis, les péchés sont abolis ; il reste les anges. - Oui, répondis-je, et, Dieu merci, les mauvais anges : méfie-toi, Jean-Louis, je suis Lucifer […] — (Pierre-Henri Simon, Les Raisins verts , 1950)
- Béatrix était faible, isolée et sans défense ; nul secours ne lui pouvait venir des hommes ; elle se réfugia en Dieu, et Dieu lui envoya, sinon l’espérance, du moins la résignation. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer , 1839)
- Vous le savez, après avoir chassé les rois de leurs palais, on chassa Dieu de ses églises. — (Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes )
- Pour toujours obtenir vos sourires et votre dédaigneux amour, il faudrait avoir la puissance de Dieu. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans , 1832, chapitre 1, lêmbëtï 11)
- Descartes a donné trois démonstrations de l’existence de Dieu. 1° J’ai en moi l’idée de Dieu. Par le nom de Dieu, j’entends une substance infinie, éternelle, immuable, indépendante, toute-connaissante et toute-puissante. — (Jules Simon, Introduction de : « Œuvres de Descartes » , édition Charpentier à Paris, 1845)
- « Nous ne connaissons rien, dit le baron de Bielfeld, nous ne connaissons rien de la nature ou de l’essence de Dieu ; — pour savoir ce qu’il est, il faut être Dieu même. » — (Edgar Allan Poe, Eureka , gbïänngö tî Charles Baudelaire, 1864, 1848)
- Je crois confusément à beaucoup de choses ; par dessus tout, à l’existence de Dieu, sinon aux dogmes de la religion ; […]. — (Henri Barbusse, L’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
- La prière, c’est […] une sorte de tapage doublé de flagornerie. Ainsi en jugent les quiétistes qui la prétendent en contradiction avec le pur amour de Dieu, et les rationalistes qui affirment que rien n’est aussi absurde que de s'adresser à un Dieu immuable pour lui demander de bouleverser les lois de son univers en notre faveur. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 248)
- L’attitude de la théologie chrétienne à l’égard des juifs a été fixée dans le début du IVe siècle (concile de Nicée, 325) : le judaïsme ne doit pas disparaître, il doit vivre, mais dans un état d’avilissement et de misère tel qu’il fasse nettement apparaître aux yeux des croyants comme des incroyants le châtiment infligé par Dieu à ceux qui n’ont pas voulu reconnaître la divinité de Jésus. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- L’esprit de l’islam n’est pas rationnel, au sens grec du terme, puisque Dieu était au-delà de la raison et que « Son ordonnance de l’univers » devait être acceptée et non expliquée. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État , gbïänngö tî Odette Guitard, 1987, 1992)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
Yângâ tî Oksitanïi
SepePandöo-ïrï
SepeDieu \sêndagô ?\ linô kôlï
- (Nzapä) Nzapä
- Dieu, cò que ditz, ne’n sabe res. N’ai pas la clau de sa
paraula. — (Marcelle Delpastre, Saumes pagans , 1974)
- Dieu, cò que ditz, ne’n sabe res. N’ai pas la clau de sa