Bâa ngâ : diều, Dieu

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Les dieux du Panthéon grec.

dieu \djø\ linô kôlï

  1. (Nzapä) Nzapä
    • Rôde-t-il de par l’univers je ne sais quel dieu de la malédiction et du carnage ayant pouvoir à de certaines heures d’arracher de la vie les fils aînés de la famille humaine taillés pour lui faire obstacle ? — (Joseph CaillauxMes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse , 1942)
    • Mais le diable a soufflé là-dessus, de son haleine fiévreuse et empestée, et les pires billevesées ont pris leur vol. L’homme a inventé les dieux et il a créé l’amour avec son cortège de sensibleries ridicules ou criminelles. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 118)
    • Malheur dieu pâle aux yeux d’ivoire
      Tes prêtres fous t’ont-ils paré
      Tes victimes en robe noire
      Ont-elles vainement pleuré
      Malheur dieu qu’il ne faut pas croire.
      — (« La Chanson du mal-aimé » na Guillaume ApollinaireAlcools , 1913)
    • Vivre comme un dieu exige que l’on cesse de croire aux dieux. Ainsi, la leçon des épicuriens est que la philosophie change les hommes en dieux en leur enseignant qu’il n’y a pas sur cette terre d’autres dieux qu’eux-mêmes dès lors qu’ils auront cessé de croire et vainement d’espérer. — (Robert Redeker, « Les épicuriens, professeurs de liberté » na Marianne , 5-11 Fulundïgi 2011, âlêmbëtï 72-73)

Âlïndïpa

Sepe