manche
Pandôo 1
Sepemanche \mɑ̃ʃ\ linô gâlï
- (Füngö-bongö, Bongö) mabôko tî bongö
- […] Rabalan rencontra une paysanne, les manches retroussées jusqu’au coude, qui portait un seau plein de lait. — (Octave Mirbeau, Rabalan )
- En sabots, les manches relevées sur leurs bras blancs, les filles balayaient le devant des boutiques. — (Francis Carco, Brumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 158)
- […]; et le maréchal, avec son tablier de cuir et ses manches de chemise retroussées jusqu'à l'épaule, tenait le cheval par la bride, parce que le cheval était un peu nerveux. — (Gilbert Guisan, C.-F. Ramuz ou Le génie de la patience , E.Droz, 1958, lêmbëtï 43)
- Il secoua la tête, jeta un soupir puis essuya son front avec le revers de sa manche de chemise : […]. — (Franz-Olivier Giesbert, L'immortel : 22 balles pour un seul homme , Éditions Flammarion, 2011, chapitre 44)
Pandôo 2
Sepemanche \mɑ̃ʃ\ linô kôlï
- mabôko (tî yêkua)
- L’ouvrier se sert d'une lame courte et tranchante, engagée dans un manche d’os, avec laquelle il pratique, au bas de l’arbre, une entaille circulaire et assez profonde pour arriver jusqu'à l’aubier. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 174)
- Dans les enregistrements de guitare acoustique, on entend plus souvent le bruit des glissements de doigts sur le manche que le son de la guitare elle-même. — (Christophe Rime, Home studio pour guitaristes et bassistes , Éditions Eyrolles, 2011, lêmbëtï 66)
- Le manche d’une basse, d’une contrebasse, d’un violon, d’une guitare.
- Malgré la marche extrêmement régulière du moteur, malgré son déploiement absolu de puissance, j'ai dû arracher le manche de toute la force de mes deux bras. L'appareil eut comme un sursaut nerveux. — (Dieudonné Costes na Maurice Bellonte, Paris-New-York , 1930)
Pasûndâ
Sepemanche \mɑ̃ʃ\ linô kôlï wala linô gâtï
- (Na sïönî nî) tî bübä, tî lûku
- Ce que j’ai pu être manche ! Elle a cherché à m’amener chez elle et j’ai pas voulu. Je croyais que c’était un traquenard de Saltierra. — (Peter Cheyney, La Môme vert-de-gris , gbïänngö tî Marcel Duhamel, Gallimard, 1945, chapitre XV)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï