taper
Palî 1
Sepetaper \ta.pe\
- (Mbumbuse) pîka
- Taper un enfant.
- Si vous désobéissez, je vous taperai.
- Elles se tapèrent comme les laveuses tapent leur linge, rudement, en cadence. Quand elles se touchaient, le coup s’amortissait, on aurait dit une claque dans un baquet d’eau. — (Émile Zola, L’Assommoir , 1877, lêmbëtï 400)
- Se taper le front.
- Ça riait en se tapant les cuisses. — (Jean Giono, Un de Baumugnes , 1929, lêmbëtï 67)
- mû
- On pique, on avale… on tape dans le tas avec les doigts… le tout c’est de s’y mettre… Et c’est excellent ! — (Louis-Ferdinand Céline, Mort à crédit , Denoël, Paris, 1936, lêmbëtï 324)
- (Tî halëzo, Wapolïpa) te, nyö
- J’avais de quoi alimenter la conversation chez Lipp où j’avais l’intention d’aller me taper une choucroute. — (Jo Barnais, Mort aux ténors , Série noire, Gallimard, 1956, chapitre II, lêmbëtï 19)
- Tiens, ma vieille elle a soixante-cinq ans, j’habite avec elle. Eh bien, à son âge, elle se tape encore son kil de rouge dans la journée. — (Jean-Paul Sartre, Les Chemins de la liberté : La Mort dans l’âme , 1949, lêmbëtï 247)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï